Présentation de Thierry Largey

45 ans, originaire de Mt-Noble, marié, deux enfants, Thierry Largey habite Sion. Il est titulaire d’une licence en biologie de l’Université de Lausanne, suivi d’une formation en développement durable à l’Université de Genève. Depuis plus de 10 ans, Thierry Largey est le directeur de Pro Natura en Valais. Dans ce cadre, il a pu démontrer toute sa capacité à trouver de solutions qui permettent de concilier les enjeux fondamentaux de défense de la nature avec les intérêts économiques de ce canton. En parallèle de son activité professionnelle, Thierry Largey a mené à bien des études de droit jusqu’à l’obtention d’un Master en droit. Il a ensuite continué des activités de recherches en droit de l’environnement auprès de la faculté de droit de l’Université de Lausanne pour laquelle il a travaillé comme doctorant FNS, activités qui l’ont conduit à défendre avec succès une thèse de doctorat, lundi dernier.

Sur le plan politique, Thierry Largey, n’est pas non plus un néophyte puisqu’il siège au législatif de la Ville de Sion depuis 10 ans, assemblée dont il a d’ailleurs assumé la vice-présidence durant 4 ans. Chef du groupe des Verts sédunois, président des Verts des trois districts de Sion, Hérens et Conthey durant 5 ans, il siège actuellement comme député au Grand Conseil valaisan. Il est membre aussi de la commission cantonale de protection de la nature et des paysages.

Pourquoi une candidature verte ?

Pour les Verts, notre société est à la croisée des chemins face aux défis du XXIème siècle. La question n’est pas seulement de savoir quelle équipe va remporter le match, mais plutôt de savoir si l’on joue le bon sport et avec le bon entraîneur. En effet, face aux changements climatiques, à l’épuisement des ressources naturelles, à l’industrialisation de notre alimentation, à la dérégulation économique, il faut amener d’autres réponses. Thierry Largey vous présentera ensuite quelques éléments de son programme.

Pourquoi une candidature dans le district de Sion ?

Un Valaisan sur deux a choisi l’actuel ministre de l’éducation Oskar Freysinger. A contrario, la moitié des électeurs n’ont pas voté pour lui. En proposant la candidature de Thierry Largey, les Verts interpellent les valaisannes et les valaisans sur ce qui ressemble à une évidence, soit une élection tacite de M. Freysinger dans le district de Sion. Pour les Verts, il faut sortir d’une logique fataliste qui entraîne par effet domino, savamment orchestré, des duels dans les districts de Martigny et de Brig. Ne pas présenter un candidat sur le district de Sion, aurait signifié pour les verts de donner sans autre la baguette de chef d’orchestre à M. Freysinger non seulement pour la durée de la campagne, mais pour écrire la musique du futur conseil d’État. Si une majorité d’électeurs place Thierry Largey en tête dans le district de Sion, c’est l’assurance pour le deuxième tour d’une page blanche, sur laquelle inscrire les noms d’un gouvernement collégial sans soliste à sa tête.

Jean-Pascal Fournier, président

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