Le 24 novembre, nous votons également sur la réforme EFAS. Par une modification de la loi sur l’assurance-maladie, cette réforme entend uniformiser le financement des prestations médicales qu’elles se fassent de manière ambulatoire ou en stationnaire. Actuellement, les cantons prennent en charge au moins 55% des frais médicaux stationnaires, alors qu’ils ne payent rien pour des soins ambulatoires, créant un déséquilibre.

Les conséquences de la réforme sont diversement évaluées, même au sein des VERT-E-SDans le camp des “pour”, on espère une baisse des coûts et des primes, car la réforme encourage les traitements ambulatoires. Du côté des opposant-e-s, on craint que les cantons ne cherchent à se débarrasser des coûts de la santé sur le dos des assuré-e-s et du personnel de santé. Les VERT-E-S ont décidé de laisser la liberté de vote.