Les Verts considèrent le changement structurel provoqué par l’acceptation de la Lex Weber et de la loi sur l’aménagement du territoire, comme une opportunité pour poser les bases d’un développement économique plus durable.

« Il manque dans les régions de montagne des incitations et des moyens financiers pour développer des projets innovants et des places de travail » affirme Adèle Thorens, co-présidente des Verts. « La production et la mise sur le marché de produits locaux devrait par exemple être davantage encouragée ».

Les Verts défendent également l’idée d’un programme d’assainissement énergétique des bâtiments spécifique aux régions de montagne, car c’est là où son efficacité est la plus grande. Avec un fonds de compensation pour le climat, nous voulons enfin amener de l’argent en provenance des cantons de plaine dans les régions de montagne pour faire face aux dommages causés par le changement climatique».

Une résolution pour une politique alpine verte a été adoptée à l’unanimité. Un groupe de travail avec des représentants des cantons de montagne va approfondir le contenu de la résolution et élaborer un plan d’action pour le développement économique durable des régions de montagne.

Résolution pour une politique alpine verte