Christophe Clivaz
En bref
- Date de naissance : 07.01.1969
- Lieu de résidence : Sion
- Formation : Études universitaires en sciences politiques suivie d’un Doctorat en Administration publique
Expériences :
- Actuellement, professeur associé à l’Institut de géographie et durabilité de l’Université de Lausanne (site de Sion à Bramois)
- Membre du comité d’Altitude 1400
- Membre du Conseil consultatif de la Chambre valaisanne du tourisme
- Membre du conseil d’administration de Télé Mont-Noble SA
- Vice-président de la Fondation pour le développement durable des régions de montagne (FDDM)
- Secrétaire du Conseil de Fondation de Senso5
Mandats politiques :
- Conseiller national à Berne – 02.12.2019 – 04.12.2023
- Conseiller communal à Sion – 01.01.2009 – 30.10.2019
- Député au Grand Conseil (Sion) – 01.05.2013 – 30.09.2016
- Conseiller général à Sion – 01.01.2005 – 31.12.2008
« Je m’engage pour une économie qui respecte la nature et le climat et à proposer des solutions ! »
Elu conseiller national en 2019, Christophe Clivaz se présente à nouveau pour un second mandat.
C’est un des candidats les plus actifs du parlement, avec à ce jour 114 interventions déposées. Mais il est surtout il est considéré comme un « bâtisseur de ponts » grâce à ses grandes capacités pour les compromis avec les autres partis pour trouver des solutions communes. Sa réélection est donc très importante !
Christophe est politologue de formation et enseignant chercheur à l’Institut de géographie et durabilité de l’Université de Lausanne, sur le site de Sion. Il travaille notamment sur les enjeux du tourisme dans les Alpes.
Les enjeux du tourisme n’est de loin pas son seul thème de prédilection. Il s’engage sur 5 autres thématiques, l’économie, la santé, le climat, la biodiversité et l’environnement, avec un seul objectif : proposer des solutions !
« Je veux m’engager davantage pour une politique touristique qui soit en harmonie avec les défis environnementaux de notre époque. Il est plus impératif que jamais de protéger la biodiversité et le paysage de nos régions montagneuses, contre les grands parcs solaires alpins par exemple. Ceci non seulement parce qu’ils constituent un atout touristique de taille, mais également pour leur valeur intrinsèque en tant que patrimoine naturel.
J’aimerais aussi amener au parlement fédéral une réflexion autour des limites à la croissance, question encore largement taboue dans le monde politique. La croissance du PIB est devenue une fin en soi, indépendamment du fait qu’elle soit encore ou non bénéfique au bien-être humain. La discussion sur les possibilités d’une société post-croissance afin d’améliorer le bien vivre ne peut plus être ignorée par le politique.
Je compte sur votre soutien dans ce combat pour une société plus écologique et solidaire. Merci! »